Nous savons qu'en France, tout ce qui est noir et/ou arabe est magnifique, et tout ce qui est blanc est à rejeter. Les exemples ne manquent pas ! Pourquoi les choses sont-elles devenues ainsi ? Je n'en sais rien du tout, et je crois que je ne comprendrai jamais pourquoi maintenant pour être quelqu'un de bien il faut tout détruire de notre passé, histoire, tradition, chrétienté… et admirer tout ce qui vient d'Afrique ou du Maghreb.

Il y a des mystères qui m'échappe et cette question de la préférence systématique étrangère en fait partie.

En voici encore un exemple que j'ai pris sur Valeurs Actuelles



Extrait de la Lettre Quotidienne de Valeurs Actuelles

(sur abonnement payant) uniquement par email :

Votre Quotidien du Soir du 09 novembre 2018 – Numéro 716

Par Raphael Stainville.

(source)



























Fichage ethnique du PSG, la grande hypocrisie

Il est des choses qui peuvent être dites et d’autres non. Des choses qui peuvent être faîtes et d’autres non. Il y a quota et quota. Discrimination positive d’un côté, discrimination et racisme supposé de l’autre. Le PSG vient de l’apprendre à ses dépens. De 2013 à 2018, le club de foot parisien aurait mis en place un système de fichage ethnique pour recruter les jeunes joueurs qui allaient intégrer son centre de formation.

Difficile de reprocher au PSG de ne pas avoir favorisé la diversité ethnique quant à l’évidence, depuis des années, les minorités visibles étaient devenues le contingent le plus important de ses jeunes apprentis. Pour avoir voulu peut-être corriger le tir, pratiquer une sorte de rééquilibrage, bref, avoir mis en place une sorte de discrimination positive à l’égard de jeunes blancs, le voici au banc des accusés. Marlène Schiappa, secrétaire d’Etat en charge des discriminations, n’a pas manqué de d’exprimer « sa consternation » et demander une enquête. La Ligue des droits de l’homme a porté plainte. Et la machine médiatique s’est emballée.

A l’inverse, quand Vikash Dhorasoo, ancien joueur de l’équipe de France, confie à la télévision que de nombreux jeunes joueurs blancs abandonnent le football parce qu’en minorité dans les centres de formation, ils subissent les moqueries et les humiliations de leurs camarades d’origine africaine ou arabe, il n’est personne pour s’en émouvoir. Quand Laurent Blanc, alors sélectionneur de l’équipe de France, s’aventure à évoquer des quotas de binationaux, c’est le tollé immédiat. Le quartier général du bruit polito-médiatique se met en branle, certains exigent alors sa tête. La diversité n’est toujours promue qu’à sens unique. C’est la fameuse discrimination positive.

Quand Science-Po réserve des places à des jeunes venus de banlieues qui entrent sans concours, il le fait sur des critères sociaux et ethniques. Quand Delphine Ernotte, la patronne de France télévision, explique en 2015 qu’« on a une télévision d'hommes blancs de plus de 50 ans et ça, il va falloir que ça change », et qu’elle y remédie sans ménagement (David Pujadas, Tex, Patrick Sébastien en ont fait les frais), aucune ligue de défense des mâles blancs ne s’est constituée pour l’attaquer en justice. Mieux, elle reçoit les félicitations, des années plus tard, de François Nyssen, alors ministre de la Culture.

Quand le Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN) exige plus de diversité à la télévision et que le CSA au travers de l’observatoire de la diversité mesure régulièrement les progrès accomplis par les chaînes en ce sens, ils ne font rien d’autres que de ficher les journalistes, les animateurs, les comédiens à l’antenne au regard de critères ethniques. Mais personne ne crie au racisme anti-blanc… Et pourtant !

Plus près de nous, quand Gilles Platret, maire Les Républicains de Châlons-sur-Saône, se refuse à réintroduire des menus sans porc dans les cantines de sa ville, la justice, sous la pression de la Ligue de la défense judiciaire des musulmans, le condamne à le faire, alors que cela l’oblige à mettre en place un fichier de nature ethnico-religieuse. Les maires qui ont déjà mis en place ce genre de menu de substitution dans leur cantine ne peuvent y échapper, sauf à faire des commandes au doigt mouillé, à risquer la pénurie ou le trop plein de nourriture. En matière de fichier ethnique, l’hypocrisie est totale. La discrimination est à sens unique. Selon que vous êtes blancs ou issus des minorités, vous serez des racistes ou des victimes à protéger pour l’éternité.


Raphael Stainville

bien l'bonjour  à mes amis de Dreuz !

télécharger ce texte en version PDF

aller page d'accueil générale de mon site

aller page des titres de mes dossiers et images pour Dreuz