bien l'bonjour  à mes amis de Dreuz !


Le plan Kalergi


extrait du site

http://www.elishean.fr/le-plan-kalergi-pour-un-genocide-culturel-orchestre-avant-la-deuxieme-guerre-mondiale/


Le PLAN KALERGI










 

Pour un génocide culturel

( extrait du site www.elishean.fr/le-plan-kalergi-pour-un-genocide-culturel-orchestre-avant-la-deuxieme-guerre-mondiale)



Selon Kalergi, s'il est une "race"susceptible de faire concurrence aux USA, c'est bien la race européenne


     S'il faut donc neutraliser la puissance européenne en fracturant son identité et ses valeurs, le métissage forcé est une solution efficace et radicale. Il sera à ce moment-là question d'un génocide ethnique et civilisationnel progressif, indolore et surtout définitif.


     Dans un premier temps, Kalergi appelle à la destruction de la famille en tant qu'institut caduc et donc bon à croupir dans les oubliettes de l'Histoire. Les déviations sexuelles les plus osées seront banalisées. D’une manière générale, le strict contrôle des naissances

devra devenir une priorité pour l'ensemble des pays membres de la Pan Europe, cela dans une optique purement malthusienne mettant en garde contre les effets catastrophiques de la surpopulation.


     La deuxième partie du Plan Kalergi prévoie la suppression tout aussi progressive du principe de démocratie et d‘égalité devant la loi. On continuera bien entendu à sacraliser ces deux notions mais dans le seul but d’en faire des instruments de pression sur les masses. La démocratie sans le peuple et l'égalité de type omellien, si l'on veut une analogie plus moderne, seront complétés par la suppression du principe d'autodétermination des peuples.



Le plan Kalergi : génocide des peuples européens


     L‘immigration de masse est un phénomène dont les causes sont habilement cachées par le Système, et la propagande "multiethnique" s‘efforce de nous persuader qu'elle est inévitable. Dans cet article, nous voulons vous démontrer une fois pour toute que cette immigration n'est pas un phénomène spontané. Ce que l'on voudrait nous faire croire comme étant une conséquence inéluctable de l‘histoire est en réalité un plan étudié sur papier et préparé depuis des dizaines d'années pour détruire complètement le visage du Vieux continent.


     LA PANEUROPE


     Peu de gens savent qu'un des principaux protagoniste du processus européen est aussi celui qui a planifié et programmé le génocide des peuples européens. Il s'agit d’un obscur personnage dont les masses ignorent l'existence, mais que les "puissants" considèrent comme étant le père fondateur de l’Union Européenne.


     La création de la Paneurope est due à l'action d'un aristocrate autrichien née d’une mère japonaise, Richard de Coudenhove-Kalergi (1894-1972). L‘objectif déclaré de Coudenhove était d‘empêcher les horreurs de la Première Guerre mondiale de se

reproduire. Cette intention louable n'était que l'arbre qui cachait la forêt....


     Les objectifs de la Paneurope sont clairement affichés dans le cadre des "Principes fondamentaux" qui stipulent entre autres : "(...) L'union paneuropéenne se déclare attachée au patriotisme européen, couronnement des identités nationales de tous les Européens. A l'époque des interdépendances et des défis mondiaux, seule une Europe forte et politiquement unie peut garantir l'avenir de ses peuples et entités ethniques. L’union paneuropéenne reconnaît l'autodétermination des peuples et le droit des groupes ethniques au développement culturel, économique et politique (... )».


     En coulisse, loin des projecteurs, il a réussi a attirer dans ses filets les plus importants chefs d'État. Ils soutiendront et feront la promotion de son projet d'unification européenne.


     En 1922, il fonda à Vienne le mouvement "Paneuropéen", qui visait l'instauration d'un Nouvel Ordre Mondial basé sur une Fédération de Nations dirigée par les Etats-Unis. L‘unification de l'Europe aurait été le premier pas vers un unique Gouvernement Mondial. Avec la montée du fascisme en Europe, le Plan a du être momentanément stoppé, et l'Union Paneuropéenne contrainte de se dissoudre. Mais, après la seconde guerre mondiale, Kalergi, grâce à une frénétique et infatigable activité, grâce à des appuis importants, réussit à faire accepter son projet...



     L'ESSENCE DU PLAN KALERGI


     Dans son livre "Praktischer Idealismus", Kalergi déclare que les habitants des futurs "États Unis d'Europe" ne seront plus les peuples originaires du Vieux Continent, mais plutôt une sorte de sous-humanité bestiale issue de mélanges raciaux. II affirmait, sans demi-mesure, qu’il était nécessaire de "croiser" les peuples européens avec les Asiatiques et les Noirs, pour créer un troupeau multi-ethnique sans

qualités spécifiques et facile à dominer pour les élites au pouvoir. "L'homme du futur sera de sang mêlé. La future race eurasiato—negroïde, très semblable aux anciens Egyptiens, remplacera la multiplicité des peuples [...]


     Voilà comment Gerd Honsik décrit l‘essence du Plan Kalergi :


     Kalergi proclama qu'il fallait abolir le droit à l'autodétermination des peuples et, successivement, éliminer les nations en utilisant les mouvements ethniques séparatistes ou l'immigration allogène de masse.


     Pour que les élites puissent dominer l'Europe, il prévoyait de transformer les peuples homogènes en un peuple métissé; il attribuait aux métis des caractéristiques de cruauté et d'infidélité, entre autres. Ce peuple, selon lui, devait être créé et ce nouveau peuple

métissé permettrait à l'élite de lui être supérieure.


     En éliminant d‘abord la démocratie, à savoir le pouvoir du peuple, et ensuite le peuple lui-même avec le métissage, les Blancs devaient être remplacés par une race métissée facile à dominer.


     En abolissant le principe d'égalité de tous devant la loi et en préservant les minorités de toute critique, avec des lois extraordinaires les protégeant, on réussirait à contrôler les masses.


     Les politique de l'époque ont écouté Kalergi, les puissances occidentales se sont basées sur son Plan, les journaux et les services secrets américains ont financé ses projets. Les leaders de la politique européenne savent bien que c'est lui l'instigateur de cette Europe

dirigée par Bruxelles et Maastricht.


     Kalergi, inconnu de l'opinion publique, [...] est considéré comme le père de Maastricht et du multiculturalisme.


     Ce qui est révolutionnaire dans son Plan, est qu'il ne préconise pas un génocide pour atteindre le pouvoir, mais qu'il prévoit de créer des «sous-humains" qui, en raison de caractéristiques négatives comme [l'incapacité] et l'instabilité, toléreront et accepteront cette "noble race" (ndt noble race = élite).


     Bien qu'aucun livre d'école ne parle de Kalergi, ce sont ses idées qui ont inspiré l‘Union Européenne d'aujourd‘hui. Sa conviction que les peuples européens devaient être métissés avec les Noirs et les Asiatiques pour détruire leur identité et créer une unique race métissée, est à la base de toute la politique européenne face à l'intégration et à la défense des minorités.


     Tout cela n‘est pas décidé pour des raisons humanitaires. Ces directives sont promulguées, avec une détermination impitoyable, pour réaliser le plus grand génocide de l'histoire.


     Le prix européen Coudenhove-Kalergi a été institué en son honneur.


Tous les deux ans, il récompense les européistes qui se sont particulièrement distingués dans la poursuite de son Plan criminel. Parmi eux, nous trouvons des personnes du calibre d'Angela Merkel ou d'Herman van Rompuy.


     La Société Européenne Coudenhove-Kalergi a décerné le premier prix européen à Angela Merkel en 2010.


     Le 16 novembre 2012 le prix Coudenhove-Kalergi a été décerné au président du Conseil européen Herman von Rompuy pendant un congrès spécial qui s'est déroulé à Vienne pour célébrer les 90 ans du mouvement paneuropéen. Derrière lui on pouvait voir le

symbole de l’union paneuropéenne : une croix rouge qui domine un soleil doré, symbole qui était celui de l'ordre de la Rose-Croix.



     L'ONU pousse au génocide par ses constantes exhortations à accueillir des millions d’immigrés pour compenser la baisse de natalité en Europe.*


     Un rapport de la "Population Division" des Nations Unies à New-York (datant de janvier 2000), est intitulé : "Migrations de remplacement : une solution pour les populations vieillissantes et en déclin".

*Selon ce rapport, l’Europe aurait besoin d’ici 2025 de 159 millions d’immigrés.*


     On se demande comment il est possible de faire des estimations aussi précises, à moins que l’immigration ait été prévue et étudiée "sur

papier".


     En fait, il est sûr que la baisse de natalité chez nous pourrait facilement être inversée avec des mesures adaptées de soutien aux familles. Et il est tout aussi évident que ça n’est pas avec l’apport d’un patrimoine génétique différent que l’on protègera le patrimoine génétique européen, et qu’en agissant ainsi, on accélère sa disparition.


     Ainsi, l’unique but de ces mesures est de dénaturer complètement un peuple, de le transformer en un ensemble d’individus sans plus aucune cohésion ethnique, historique et culturelle.


     Bref, les thèses du Plan Kalergi ont constitué et constituent jusqu’à aujourd’hui la base de la politique officielle des gouvernements qui

poussent au génocide des peuples européens à travers l’immigration de masse.


     G.Brock Chisholm, ex-directeur de l’OMS, nous montre qu’il a parfaitement appris la leçon de Kalergi quand il affirme :


"Ce que les gens doivent développer en tous lieux, est le contrôle des naissances ET les mariages mixtes (inter-raciaux), dans le but de

créer une seule race dans un monde unique et dépendant d’une autorité centrale".


      CONCLUSION


     Si nous regardons autour de nous, le Plan Kalergi semble s’être pleinement réalisé. Nous sommes au-devant d’une vraie tiers-mondialisation de l’Europe.


     L’axiome de la "Nouvelle citoyenneté", c’est le multiculturalisme et le métissage forcé. Les Européens sont les naufragés du métissage,

submergés par des hordes d’immigrés africains et asiatiques. Les mariages mixtes produisent chaque année des milliers d’individus métis : les "enfants de Kalergi".


     Sous la double poussée de la désinformation et de l’abêtissement du peuple, grâce aux moyens de communication de masse, on a poussé les Européens à renier leurs propres origines, à oublier leurs propres identités ethniques. Les partisans de la globalisation s’efforcent de se convaincre que, renoncer à sa propre identité, est un acte progressiste et humanitaire, que le "racisme" est erroné, mais uniquement parce qu’ils aimeraient faire de nous des consommateurs aveugles.


Extrait d’un article traduit de l’italien par Winkelried, émanant du site réduitnational.com

<http://www.reduitnational.com/il-piano-kalergi-il-genocidio-dei-popoli-europei/>



      Le Nouvel Ordre Mondial


"L’arrivée d’Adolf Hitler au pouvoir, comme l’explique Antony Sutton,

s’explique par les nombreux soutiens des industriels et financiers

anglo-saxons via leurs homologues allemands. Dans cette affaire, le

directeur de la Reichsbank, Hjalmar Schacht (1877-1970), fut un

intermédiaire de première main. Son action fut d’autant plus profonde

qu’il fut le ministre de l’Economie du IIIè Reich de 1934 à 1939. Le

relèvement économique de l’Allemagne dû à son action permit à Hitler de

poursuivre une politique qu’il n’aurait jamais pu exercer sans la remise

à niveau du pays. De tels méfaits auraient dû le conduire à la peine de

mort lors du procès de Nuremberg. Il n’en fut rien puisqu’il fut

acquitté. En fait, Hjalmar Schacht était lié fortement à l’aristocratie

commerciale anglo-saxonne. Son père, l’Etats-unien William Schacht,

avait travaillé 30 ans au sein de la filiale d’Equitable Life Assurance

de Berlin.


Son fils était donc dès sa naissance dans le sérail du système

mondialiste. Ceci est encore plus renforcé lorsqu’on sait que Hjalmar

Schacht était depuis 1918 au comité directeur de la Nationalbank für

Deutschland ("Banque nationale d’Allemagne"), au côté du banquier Emil

Wittenberg qui était en même temps membre du comité directeur de la

première banque soviétique créée en 1922, la Ruskombank. Celle-ci était

dirigée par le banquier suédois … Olof Aschberg précédemment vu. Pour

continuer dans le tournis, nous pouvons préciser que le directeur de la

section étrangère Ruskombank, l’Etats-unien Max May, était le

vice-président de Guaranty Trust Company, une filiale d’un des piliers

de Wall Street, JP Morgan. Dans cette affaire, un haut représentant

américain de Wall Street travaillait donc au sein de l’élite bancaire

soviétique. Pour compléter le tout, la collaboration d’Hjalmar Schacht

avec ce milieu était renforcée par ses liens d’amitié avec le patron de

la banque d’Angleterre Norman Montagu. On comprend mieux qu’Hjalmar

Schacht n’ait pas été vraiment inquiété au lendemain de la Seconde

Guerre mondiale.


Le soutien apporté par cette aristocratie commerciale et apatride

anglo-saxonne au communisme, au nazisme ainsi qu’à la prise du pouvoir

par Franklin Delano Roosevelt , relaté dans la trilogie /Wall Street/

d’Antony Sutton, était aussi des formes d’expériences de laboratoires

agissant dans un cadre local (Union soviétique, Allemagne nazie et

Etats-Unis ). Sous une appellation différente, Antony Sutton en conclut

que ces idéologies, appelées diversement "socialisme soviétique", «

socialisme collectif" (pour le national-socialisme) et "socialisme de

la nouvelle donne" (/New Deal/), n’étaient que des mises en forme d’un

socialisme monopolistique ; idéal d’organisation qui doit désormais voir

le jour à l’échelle planétaire dans le cadre du "nouvel ordre mondial

». La guerre de 1939-1945 résultant de tout ce travail d’arrière-fond

permit le basculement vers un autre monde ; l’instauration de deux blocs

apparemment antagonistes obéissant parfaitement au principe hégélien de

la thèse et de l’antithèse. Cependant, ces deux mondes étant irrigués

par les mêmes sources financières, il était possible de poser les jalons

devant permettre la réalisation de l’Etat mondial.


Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, nous pouvons relever trois

dates essentielles dans l’immédiate après-guerre : 1946 ; 1947 et 1948.

C’est le Premier ministre britannique, Winston Churchill qui a relancé

l’idée d’unification de l’Europe dans un discours prononcé à Zürich, le

19 septembre 1946. En effet, il n’hésita pas à affirmer : /"Il nous

faut édifier une sorte d’Etats-Unis d’Europe"./


Ces propos ravirent Richard de Coudenhove-Kalergi qui était soutenu par

Churchill. Le fondateur de la Paneurope s’activant de son côté à la

relance de l’idéal européen exposa l’histoire de son oeuvre et des

projets à accomplir dans un ouvrage intitulé /J’ai choisi l’Europe/.

Dans ce livre, Coudenhove bénéficia de la préface de … Winston Churchill.


La deuxième étape avec la réunion à Montreux en Suisse, en août 1947,

constitue un passage décisif vers le renforcement des fondations de

l’Etat mondial en préparation. En effet, divers représentants européens

et états-uniens acquis aux principes d’un fédéralisme mondial se sont

accordés pour créer deux instituts, sous l’égide du juriste suisse Max

Habicht , dont l’efficacité se fait largement sentir : le "Mouvement

fédéraliste mondial" (World federalist movement, WFM) et l’ "Union des

fédéralistes européens" (Union of European Federalists, UEF).


Le WFM a présenté sa /magna carta/, lors de la réunion de Montreux,

favorable à l’établissement de principes clefs afin d’instaurer un Etat

mondial à base fédérative. Force est de constater que 63 ans après leurs

formulations, leurs vœux sont largement exaucés. Il est, en effet,

affirmé que /"Nous, fédéralistes mondiaux, sommes convaincus que la

création de la confédération mondiale est le problème capital de notre

temps. Tant qu’il n’aura pas été résolu, toutes les autres questions —

nationales ou internationales — resteront sans réponses valables. Ce

n’est pas entre la libre entreprise et l’économie dirigée, le

capitalisme et le communisme qu’il s’agit de choisir, c’est entre le

fédéralisme et l’impérialisme"/.


Dans la foulée, cette /Déclaration/ propose entre autres les principes

suivants : /"limitation des souverainetés nationales" avec "transfert

à la Confédération des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire"/,

/"création d’une force armée supra-nationale"/ ; en précisant en

particulier ce fait d’une très grande actualité en ce début de XXIè

siècle qu’ /"une juste perspective fédéraliste doit intégrer les

efforts faits sur les plans régional et fonctionnel. La formation

d’unions régionales (ndlr : souligné par nous) — dans la mesure où elles

ne constituent pas une fin en soi et ne risquent pas de se cristalliser

en blocs — peut et doit contribuer au bon fonctionnement de la

Confédération mondiale". A la fin de cette Déclaration, il est précisé

de favoriser la création d’une "Assemblée constituante mondiale"/ .


Parallèlement à la création du WFM, l’Union des fédéralistes européens

(UEF) vit le jour à Montreux. Cependant, des travaux d’avant-garde

avaient déjà préparé le terrain. En effet, sous l’influence de la

Paneurope de R. de Coudenhove-Kalergi, il fut fondé en 1934 Europa Union

défendant l’idéal d’une Europe unifiée selon le principe fédéral et

inspiré du modèle suisse.


Quatre ans plus tard, en novembre 1938, fut créée sous l’influence des

fabiens Lord Lothian et Lionel Curtis, Federal Union. Cette dernière est

une branche de l’UEF au même titre que le sont les différentes «

filiales" française (l’UEF France), allemande (Europa Union

Deutschland), italienne (UEF Italie) etc. Précisons que, pareil au

principe des poupées russes, l’UEF est une branche du World Federalist

Movement (WFM) . Par conséquent, nous avons là un institut européen

oeuvrant en faveur du fédéralisme et qui épouse en même temps les

travaux du WFM mais à l’échelle planétaire.


Pourquoi est-il si important d’évoquer la mission de l’UEF ? Cet

institut fédéraliste est dirigé par l’Anglais Andrew Duff, député au

Parlement européen sous l’étiquette des "démocrates libéraux"]. Il est

membre aussi du European Council on Foreign Relations (l’ECFR, "Conseil

européen des relations étrangères") créé en 2007 , jumeau européen du

CFR états-unien fondé en 1921. Andrew Duff est aussi celui qui, en

collaboration étroite avec la Fondation Bertelsmann et le député

autrichien Johannes Voggenhuber, a permis la relance du projet de

constitution européenne après l’échec des référendums français et

hollandais en 2005.


Le Traité de Lisbonne n’aurait pas pu voir le jour — du moins plus

difficilement — sans l’appui et les convictions d’Andrew Duff. Par

ailleurs, force est de constater que l’influence outre-tombe d’un Cecil

Rhodes et d’un Lord Milner s’est faite sentir lors de l’élaboration de

la constitution européenne (dite "Constitution Giscard" prélude au

Traité de Lisbonne) en 2003-2004. En effet, le "groupe Milner" et les

fabiens ont toujours été favorables à l’unification de l’Europe à

condition que cela se fasse sous direction anglo-saxonne.


Au cours des deux guerres mondiales, les tentatives d’unité européenne

sous direction allemande, puissance terrestre, ne pouvaient pas être

acceptées par Londres et par Washington car la thalassocratie

anglo-saxonne se retrouvait exclue des affaires du vieux continent.

Richard de Coudenhove-Kalergi l’avait parfaitement compris à la lecture

de son discours en 1950.


Par conséquent, il est utile de s’intéresser au secrétaire général

chargé de téléguider les travaux de la "Constitution Giscard",

l’Anglais John Kerr. Son /Curriculum vitae/ révèle qu’il est à la tête

d’une compagnie pétrolière, la Royal Dutch Shell, et qu’il a été aussi

ambassadeur de Grande-Bretagne aux Etats-Unis. Ses liens avec

l’aristocratie commerciale anglo-saxonne révèlent aussi qu’il est membre

du comité directeur chargé du recrutement des élites dans le cadre des «

bourses d’études Cecil Rhodes". Comme on peut le constater, la réussite

de l’entreprise mondialiste est une affaire de temps ; mais ils y arrivent.


Enfin, le Congrès de la Haye (7-10 mai 1948) sous la présidence

d’honneur de Winston Churchill et réunissant près de 800 militants

pro-européens a posé les premiers fondements d’une Europe unifiée.


La figure de proue de ce Congrès fut le secrétaire général Joseph

Retinger (1888-1960). Les vrais acteurs de l’histoire sont souvent dans

les coulisses. C’est le cas de Retinger travaillant au service du CFR et

du RIIA dont l’action fut déterminante dans le développement des

structures mondialistes…



        Une église catholique au service du nouvel ordre mondial


Que l’on soit croyant ou pas, l’étude des principes animant une Eglise

doit se faire avec objectivité. Il faut étudier les préceptes qu’elle

défend et observer si les propos et les actions qu’elle mène sont en

conformité ou pas avec son corps de doctrine. Dans le cas de l’Eglise

catholique, le concept défendu depuis 2000 ans s’appuie sur la primauté

de Dieu sur l’homme. Les Ecritures et la Tradition constituent le socle

intouchable, le dépôt de la foi selon les termes consacrés, définies par

le successeur de saint Pierre, le pape.


L’homme marqué du péché originel doit se conformer à une autorité

supérieure et obéir à l’ensemble des préceptes défendus par l’Eglise

catholique. Ces principes sont immuables. Quand on n’est pas d’accord

avec ces principes, on quitte l’Eglise catholique. C’est le cas des

multiples Eglises protestantes.


Cependant, un changement fondamental s’est produit avec le concile

Vatican II (1962-1965).


Ce concile est le résultat d’un long courant de réflexions animant de

nombreux hommes d’Eglise mais aussi hors de l’Eglise dès le XIXè siècle.

Après un long combat entre les défenseurs de la Tradition et les

progressistes ; ces derniers ont pu imposer leur vision lors de la

grande réforme de Vatican II. Pour ces partisans, il s’agit d’adapter

l’Eglise aux multiples innovations politiques, techniques et sociales

marquant l’évolution du monde. Pour les défenseurs de la Tradition,

c’est tout l’inverse. C’est au monde de s’adapter aux principes de

l’Eglise. Cette humanisation de l’Eglise passant par la promotion des

droits de l’homme et sa collaboration avec les instances internationales

ont été clairement affichées en 1963 dans l’encyclique du pape Jean

XXIII, /Pacem in terris/.


Rappelant les progrès de la science et des techniques conduisant à «

intensifier leur collaboration et à renforcer leur union" au sein du

genre humain ; il s’agit de renforcer le "bien commun universel" que

les Etats ne peuvent plus assurer selon l’encyclique. C’est pourquoi, le

document ajoute en toute logique que "De nos jours, le bien commun

universel pose des problèmes de dimensions mondiales. Ils ne peuvent

être résolus que par une autorité publique dont le pouvoir, la

constitution et les moyens d’action prennent eux aussi des dimensions

mondiales et qui puisse exercer son action sur toute l’étendue de la

terre. C’est donc l’ordre moral lui-même qui exige la constitution d’une

autorité publique de compétence universelle".


Souhaitant que ce "pouvoir supranational ou mondial" ne soit pas

instauré de force, l’encyclique approuve la /Déclaration des droits de

l’homme/ de 1948 en dehors de quelques objections. Elle ajoute que «

Nous considérons cette /Déclaration/ comme un pas vers l’établissement

d’une organisation juridico-politique de la communauté mondiale".


Ce changement de direction de l’Eglise catholique est la marque de

fabrique de tous les papes depuis Vatican II. Lors de son message de

Noël en 2005, Benoît XVI a encouragé les hommes à s’engager "dans

l’édification d’un nouvel ordre mondial" .


Il est donc tout à fait logique que Benoît XVI ait appelé à

l’instauration d’une "autorité politique mondiale" dans son encyclique

/Veritas in caritate/ en juillet 2009. Rappelant l’interdépendance

mondiale, le pape appelle à "l’urgence de la réforme de l’Organisation

des Nations Unies comme celle de l’architecture économique et financière

internationale en vue de donner une réalité concrète au concept de

famille des nations (…)".

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